Les tribunes du Grand Prix de Monaco regorgent elles aussi de subtilités méconnues. "On est sur bases constantes car c’est programmé. Les billets sont déjà en vente depuis longtemps, on sait exactement ce qu’on doit faire et quelle place sera à tel endroit, mais après viennent se greffer pas mal de choses tout autour."
Oublié l’épisode douloureux de 2012, lorsqu’un plancher en bois, "pourri" par un animal dans son bois d’origine - un vice invisible -, avait cédé faisant un blessé.
Aujourd’hui tous les éléments sont en composite et robustes. "Ce sont des tribunes atypiques mis en place par des échafaudeurs et pas par des marchands de tribunes. Il fallait que la tribune s’adapte au profil géographique de la ville, ça monte et ça descend. L’échafaudeur a la chance et l’avantage d’avoir des éléments préfabriqués et autocertifiés, qui sont faits pour supporter, je ne dis pas Notre-Dame, mais c’est un peu la même chose", affirme Christian Tornatore.
"C’est peu de places (20 000) et les places debout n’existent pas cette année. C’est très petit, la capacité d’un stade de football, mais c’est important parce que c’est ce qui nous fait vivre. Certes, pas trop en ce moment."
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