2019, l’avènement du prince Charles

Qu’il figure ou non dans le top 3 final à l’issue du Grand Prix d’Abu Dhabi, Charles Leclerc incarne le futur de la Formule 1. Retour sur sa première chevauchée fantastique griffée Ferrari

Article réservé aux abonnés
Publié le 01/12/2019 à 10:23, mis à jour le 01/12/2019 à 10:24
1. Grand Prix d’Italie (7-8 septembre) : déjà dans la légende.- Pouvait-il imaginer plus somptueux cadeau pour célébrer le 90e anniversaire de la Scuderia Ferrari ? À peine une semaine après son entrée dans la famille des vainqueurs de Grand Prix, le nouveau chouchou des tifosi, qui le surnomment « Carletto » (le petit Charles), fait chavirer de bonheur le temple de Monza marqué au fer rouge de la passion. Pole position encore convertie en triomphe malgré le pressing incessant exercé par Lewis Hamilton. Bienvenue dans la légende !
2. Grand Prix de Belgique (31 août-1er septembre) : la première à jamais.- A domicile, ou presque, les bouillants fans de Max Verstappen (ci-contre) sont aux premières loges pour assister à l’avènement du prince Charles. S’il n’avait pas réussi à transformer l’essai à Bahreïn et en Autriche, le Monégasque, bien que bouleversé par le crash mortel ayant emporté son ami pilote de F2 Anthoine Hubert 24 heures plus tôt, conclut cette fois en apothéose sa magistrale démonstration sur le toboggan de Spa-Francorchamps. Tous derrière et lui devant.
1. Grand Prix d’Italie (7-8 septembre) : déjà dans la légende.- Pouvait-il imaginer plus somptueux cadeau pour célébrer le 90e anniversaire de la Scuderia Ferrari ? À peine une semaine après son entrée dans la famille des vainqueurs de Grand Prix, le nouveau chouchou des tifosi, qui le surnomment « Carletto » (le petit Charles), fait chavirer de bonheur le temple de Monza marqué au fer rouge de la passion. Pole position encore convertie en triomphe malgré le pressing incessant exercé par Lewis Hamilton. Bienvenue dans la légende ! 2. Grand Prix de Belgique (31 août-1er septembre) : la première à jamais.- A domicile, ou presque, les bouillants fans de Max Verstappen (ci-contre) sont aux premières loges pour assister à l’avènement du prince Charles. S’il n’avait pas réussi à transformer l’essai à Bahreïn et en Autriche, le Monégasque, bien que bouleversé par le crash mortel ayant emporté son ami pilote de F2 Anthoine Hubert 24 heures plus tôt, conclut cette fois en apothéose sa magistrale démonstration sur le toboggan de Spa-Francorchamps. Tous derrière et lui devant.

7

(Capture d’écran Canal+)
(Capture d’écran Canal+)
3. Grand Prix de Bahreïn (30-31 mars) : maudit moteur.- Deuxième étape, première pole, premier podium (3e) ! Dès le virage de Sakhir, le talent de la pépite du Rocher éclate au grand jour. Solide leader, le pilote de la SF90 n°16 fonce vers la victoire mais un cylindre défaillant le ralentit à onze tours du damier. Hamilton, qui rafle la mise, s’empressera de réconforter le héros malheureux.
4. Grand Prix de Singapour (21-22 septembre) : l’amère pilule.- Alors qu’il caracole devant, le poleman, en quête d’un troisième succès consécutif, perd son avantage après un changement de stratégie soudain permettant à Sebastian Vettel d’accomplir son pit stop en premier. Pilule dure à digérer...
5. Grand Prix de Monaco (25-26 mai) : pas verni à domicile.- Comme en 2017 (Formule 2) et 2018 (chez Alfa Roméo Sauber), l’enfant prodige de la Principauté ne voit pas le damier à domicile. Seulement 16e sur la grille après une incroyable bourde de son équipe en Q1, il s’accroche avec Nico Hülkenberg à la Rascasse. Touché, coulé.
6. Grand Prix d’Australie (16-17 mars) : ça démarre fort.- Dès la première mise à feu de la saison, le successeur de Kimi Räikkönen attaque son coéquipier quadruple champion du monde en posant deux roues dans l’herbe. Le ton est donné !
7. Grand Prix du Brésil (16-17 novembre) : le crash qui coûte cher.- Et ce qui devait arriver... arriva. Lors d’une fin de course complètement folle, à Interlagos, les deux Ferrari se touchent dans une ligne droite où Leclerc était en train de déborder Vettel. Le double abandon profite à Verstappen, vainqueur du jour qui déloge le Monégasque de la 3e place du championnat. Suite et fin aujourd’hui...
3. Grand Prix de Bahreïn (30-31 mars) : maudit moteur.- Deuxième étape, première pole, premier podium (3e) ! Dès le virage de Sakhir, le talent de la pépite du Rocher éclate au grand jour. Solide leader, le pilote de la SF90 n°16 fonce vers la victoire mais un cylindre défaillant le ralentit à onze tours du damier. Hamilton, qui rafle la mise, s’empressera de réconforter le héros malheureux. 4. Grand Prix de Singapour (21-22 septembre) : l’amère pilule.- Alors qu’il caracole devant, le poleman, en quête d’un troisième succès consécutif, perd son avantage après un changement de stratégie soudain permettant à Sebastian Vettel d’accomplir son pit stop en premier. Pilule dure à digérer... 5. Grand Prix de Monaco (25-26 mai) : pas verni à domicile.- Comme en 2017 (Formule 2) et 2018 (chez Alfa Roméo Sauber), l’enfant prodige de la Principauté ne voit pas le damier à domicile. Seulement 16e sur la grille après une incroyable bourde de son équipe en Q1, il s’accroche avec Nico Hülkenberg à la Rascasse. Touché, coulé. 6. Grand Prix d’Australie (16-17 mars) : ça démarre fort.- Dès la première mise à feu de la saison, le successeur de Kimi Räikkönen attaque son coéquipier quadruple champion du monde en posant deux roues dans l’herbe. Le ton est donné ! 7. Grand Prix du Brésil (16-17 novembre) : le crash qui coûte cher.- Et ce qui devait arriver... arriva. Lors d’une fin de course complètement folle, à Interlagos, les deux Ferrari se touchent dans une ligne droite où Leclerc était en train de déborder Vettel. Le double abandon profite à Verstappen, vainqueur du jour qui déloge le Monégasque de la 3e place du championnat. Suite et fin aujourd’hui...

“Rhôooooooooo!”

Vous utilisez un AdBlock?! :)

Vous pouvez le désactiver juste pour ce site parce que la pub permet à la presse de vivre.

Et nous, on s'engage à réduire les formats publicitaires ressentis comme intrusifs.