Les premiers pas monégasques du collectionneur de Barbie niçois

Jean-Pierre Icardo, 63 ans, a sillonné la Côte d'Azur pour faire poser ses drôles de mannequins… des barbies! Bien plus qu'un passe-temps de retraité, c'est la passion de ce collectionneur qui s'est affirmé pour la première fois à Monaco il y a 34 ans de cela.

Article réservé aux abonnés
Skander Farza Publié le 30/04/2017 à 13:45, mis à jour le 30/04/2017 à 13:39
Jean-Pierre Icardo a sillonné la Côte d'Azur pour faire poser ses poupées Barbie. (Photo S.F

"Monaco c'est Barbie!"

Ses créations prennent forme en mariant photographie et maquette. Le passionné fait poser ses pièces de collection sans jamais toucher aux vêtements ou coiffures des poupées dans ses soucis méticuleux de collectionneur. "Dès qu'on touche à une poupée on lui fait perdre de sa valeur. Mon but c'est d'intégrer le mannequin tel qu'il est dans un décor adéquat." 

Comme studio de photo il a choisi la Côte d'Azur avec des lieux touristiques mais pas trop. "Je ne peux avoir des gens qui passent derrière mes figurines, ça briserait l'effet recherché!" 

Sur les quelque 300 clichés de son livre, Barbie on the French Riviera, dix-neuf sont en terre monégasque. Barbie pose devant les gradins du Grand Prix ou encore sur la plage du Larvotto. Mais l'endroit où Barbie aura le plus posé est au jardin japonais: "J'ai pris des photos sous tous les angles possibles, ça m'a pris toute une journée."

Mais selon lui, il est loin d'avoir "rendu compte de toute la Principauté!" et réfléchit déjà à de nouveaux clichés…

En 2019, Barbie fêtera ses 60 ans. Un anniversaire qu'il aimerait immortaliser à Monaco avec enthousiasme: "J'ai tellement peu exploité le paysage monégasque il y a plein de choses à faire ici!" Quelques idées sont déjà lancées, entre la vue panoramique du Fermons Hôtel ou encore le Yacht-club.

“Rhôooooooooo!”

Vous utilisez un AdBlock?! :)

Vous pouvez le désactiver juste pour ce site parce que la pub permet à la presse de vivre.

Et nous, on s'engage à réduire les formats publicitaires ressentis comme intrusifs.

Monaco-Matin

Un cookie pour nous soutenir

Nous avons besoin de vos cookies pour vous offrir une expérience de lecture optimale et vous proposer des publicités personnalisées.

Accepter les cookies, c’est permettre grâce aux revenus complémentaires de soutenir le travail de nos 180 journalistes qui veillent au quotidien à vous offrir une information de qualité et diversifiée. Ainsi, vous pourrez accéder librement au site.

Vous pouvez choisir de refuser les cookies en vous connectant ou en vous abonnant.